La vitesse joue un rôle dans 30 % des accidents mortels, soit près d'un accident sur 3. Même quand elle n'est pas la cause première d'un accident, elle représente un facteur aggravant, en augmentant la violence des impacts et la gravité des lésions chez les victimes.
Plusieurs études montrent que les comportements sont en partie influencés par la norme sociale : un conducteur qui roule généralement vite et qui pense que sa famille ou ses amis ne désapprouvent pas ce comportement n'aura pas tendance à le remettre en question et encore moins à le modifier.