Les cyclistes et les usagers assimilés aux cyclistes sont des usagers faibles et forts à la fois. Ils sont faibles par rapport aux véhicules motorisés, mais ils sont forts par rapport aux piétons. Avec ces derniers, la cohabitation n’est pas toujours simple, car les cyclistes ont parfois tendance à faire naître auprès des piétons ce qu’ils détestent pourtant subir de la part des automobilistes, c’est-à-dire un sentiment d’insécurité causé par leur comportement téméraire ou envahissant.